Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

lc30

Membres
  • Compteur de contenus

    969
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par lc30

  1. je ne l'ignore pas et parmi toutes les définitions durisque celle de l'Unesco, malgré sa forme un peu technocratique, est de loin la meilleure. certaines ne sont pas mauvaises du tout comme celle de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, mais elle n'a pas la concision de celle de l'Unesco. C'est très difficile à faire passer; pendant plusieurs années j'ai écrit dans une revue de risques et l'article que j'avais mis là-dessus a fait tiquer.... jusqu'au jour où une revue d'hydraulique m'a demandé de reprendre cet article parce qu'un certain nombre de hauts fonctionnaires commençaient à comprendre ( La Houille Blanche en 2001... c'est pas vieux !). En fait dans la réflexion sur la vulnérabilité je suis en train d'aller beaucoup plus loin, mais je ne sors rien avant d'avoir été confronté à la critique dans le groupe où j'enseigne. ça va certainement faire la g****e autour de moi, j'ai l'habitude, mais faudra qu'ils s'y fassent ! un exemple d'aléa très fort sans risque avant la construction du barrage d'Assouan, les crues du Nil étaient vues comme le bienfait....( sauf que les crocodiles en profitaient un peu pour sortir du lit et se nourrir éventuellement d'autres choses que de poissons, un agriculteur par ci, un pécheur par là...): parce qu'elles apportent le limon, les sels minéraux, etc.... les crues ne provoquent pas le risque. L'aléa existe ! le risque est nul ! c'est l'insuffisance de crue qui est le risque de terres insuffisamment inondées ( récoltes moindres, d'où famines...) Autre exemple : une éruption de l'Erebus en Antarctique.... dernier exemple : L'Amazone . Dans sa partie supérieure c'est un torrent avec tous les aléas destructeurs classiques d'un torrent... de Manaus à l'Océan, même si en crue il triple de débit, c'est un bienfait pour la forêt (enfin celle qu'on n'a pas encore détruite). Et si la crue n'est pas assez forte... eh ben la forêt elle ne se porte pas aussi bien -- lc30
  2. il faut bien distinguer taches solaires et orages solaires. En raison de l'isotropie de l'espace même le plus lointain il est certain que le flux cosmique reste constant ou peu s'en faut, par contre un orage solaire cela existe même en période de minimum... -- lc30
  3. de façon certaine, lorsque j'ai fait une enquête professionnele sur les risques il y a plus de vingt ans, j'ai mentionné l'existence possibles d'avalanches de neige lourde, notamment sur le flanc sud du Lioran. je me suis basé sur des critères topographiques de pente et climatiques de transformation de la neige.il faudrait remonter aux grandes années de neige pour avoir des témoignages, mais l'existence de l'aléa n'est reconnu que parce qu'il y a eu des dégâts à l'activité humaine... et de 1945 à 1965 cela a été le dépuplement du coin. Peut-être des archives communales, ou l'ONF ont conservés des traces si'il y a eu des dégâts aux boisements. ce sont les deux seules sources possibles -- lc30
  4. je dois dire qu'au départ j'étais très sceptique sur cette influence. Or il ne s'agit pas de rayonnement cosmique, qui vient par principe de l'extérieur du système solaire, mais du flux le plus énergétique ( X et gammas) émis par le Soleil. il fallait s'exprimer autrement...., en évitant de mettre tout le cosmos /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> je suis nettement moins dubitatif, car comme le dit Charles Muller, C14 et Be10, procurent des données bien troublantes sur les corrélations avecla sédimentologie, la dendrochronologie et la paléopalynologie... Cela fait trois sources ! ça commence à faire beaucoup ! Evidemment cela progresse à petits pas... essayez d'intéresser les médias à ces trucs paléo, dendro, ... c'est pas vendeur ! le RC là oui on peut dire n'importe quoi... et plus c'es c*** mieux ça passe . Au moins quand un politicien subventionne les études RC on lui donne en retour de quoi faire baver ses électeurs. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> -- lc30
  5. Là je rectifie ! le barrage de Malpasset fut construit pour des besoins strictement agricoles sans aucune exploitation énergétique. A l'origine, l'étude géologique a été réalisée pour un emplacement donné, avec un pendage des roches "amont" .... par quel mystère ( hum, hum, hum) on l'a déplacé vers l'aval dans une zone de pendage "aval", en disant " on a déjà fait une étude on va pas en refaire une autre"... du fait de ce pendage "aval" et des phénomènes de sous-pression (condition de Maurice LEVY) , le barrage-voute s'est transformé en barrage-poids..... sans en avoir le poids, d'où l'arrachement. Assez curieusement c'est dans la cassette CRDP que l'on trouve la meilleure mise à disposition de ces informations pour le grand public... ( Lire aussi l'article "barrages de l'Encyclopédia universialis) Ensuite il y a de très graves erreurs dans la procédure de première mise en eau du barrage ( c'est souvent le cas, comme ce le fut au Vajont, barrage-voute qui a tenu malgré la vague de plus de 200 m qui l'a submergé : là c'est la géologie de la retenue qui n'a pas été prise en compte, voir le film "la folie des hommes"- en français ou "vajont" en italien) -- lc30
  6. normalement sur le plan juridique "vent et tempête" ne relèvent pas de la loi de 1982 (CATNAT), et l'indemnisation relève de la loi classique des assurances. Il faut rappeler la définition essentielle du risque qui est celle de l'UNESCO : "Le risque est le croisement de l'aléa et de la vulnérabilité" Y-a-t-il risque sur le plateau du Larzac lors d'une tempête de vent : cela dépend pourquoi ou pour qui ? La forêt ? ... elle n'existe pas ... Y-a-t-il risque lors d'un séisme en plein Sahara sans aucune activité humaine ? Et on peut varier les exemples à l'infini ; reste à savoir ce qu'est la vulnérabilité. Même cas que pour le Larzac, les lignes électriques, oui il y a risque, la même ligne électrique enterée il n'y a pas de risque. Cas inverse du mouvement de terrain la ligne aérienne ne craint rien, la ligne souterraine peut être entraînée et détruite (voir les conduites de gaz ou d'eau en matière de mouvements de terrain en ville, même si ces mouvements ne mettent pas en cause la solidité des immeubles parce qu'ils sont dus au passage répétés de fortes charges sur les rues et boulevards... c'est-à-dire des tassements locaux). En fait la vulnérabilité ne se décline pas comme cela, mais le plus souvent par une prise en compte de la sécurité publique. un exemple récent : les dégâts à Vendargues-Saint-Aunès, les bâtiments, clôtures et plantations étaient détruites mais sur des surfaces faibles. N'importe quel pouvoir peut réagir totalement et rapidement parce qu'aucun service essentiel n'est touché (eau, électricité, pompiers, gendarmerie, armée), donc héberger et nourrir en urgence 300 ou 400 personnes avec un grande ville à côté, faudrait être vraiment c** et borné pour ne pas savoir le faire. Même un petit village peut faire beaucoup avec sa salle des fêtes ou son gymnase comme on l'a vu en 2002 avec les inondations du Gard... à la condition que ces lieux ne soient pas inondés. Inversement Bagnols-sur-Cèze ou Sommières.... les pompiers sont touchés soit eux-mêmes, soit leurs accès.. Il y a un problème de sécurité publique qui va se poser (pillage éventuel comme on le vit en 1988 à Nîmes, puisque le pouvoir local était absent, ou en 1992 dans les environs de Vaison, car il y avait des difficultés d'accès, alors qu'à Vaison le maire a fait son boulot évitant que la crise se tranforme en chaos). Durban-Corbières 1999 : pompiers et gendarmerie inondés... perception aussi ( moins grave cela peut attendre) mais aussi l'école (lieu d'accueil éventuel). Donc la vulnérabilité dépend aussi de ce qui est atteint et qui par rétroaction positive... conduit à des situations très négatives... L'aléa c'est facile à comprendre, surtout en matière naturelle, la vulnérabilité c'est un sujet bien plus délicat à manipuler. -- lc30
  7. en attendant des nouvelles de ma famille nancéenne, j'aborde un sujet différent et qui peut être est général : celui des temps de retour ! En supposant qu'en remontant dans l'histoire on ait suffisamment de données sur les grands événements, ce qui n'est pas toujours possible il faut 1) relativiser : en effet l'urbanisme n'était en général pas le même et ce qui nous parait catastrophique aujourd'hui peut passer inaperçu il y a 200 ans 2) éviter de dire en y années il y a x événements , de faire la moyenne, l'écart-type et d'oublier qu'il s'agit d'une distribution d'événements rares ( distribution de Poisson) pour laquelle la moyenne est égale à l'écart-type un façon plus intelligente de procéder est la suivante : on commence à une date arbitraire et on cherche quel est l'intervalle de temps pendant lequel il y a eu , au moins, un événement important. Surtout pas "zéro", et là on a une idée d'un temps quasi-probable pendant lequel on connaîtra au moins un événement. j'ai appliqué cela sur Nîmes depuis 1630 : pour avoir "au moins un événement" pendant un temps donné il faut faire un découpage de trente ans. Mais lorsqu'on a fait cela et qu'on revient en arrière on s'aperçoit qu'à l'exception d'une seule période lointaine, toute période de trente ans comporte au moins deux événements importants, alors que la moyenne donne un tous les dix ans, et qu'en trente ans on peut en avoir connu sept. L'important dans cette méthode est d'éliminer "zéro" Même méthode sur le Vidourle : 55 ans... mais depuis 1900 , 4 événements graves ( 1907, 1933, 1958, 2002) ce qui veut dire qu'à Nîmes pour une durée de vie de 60 ans toute personne connaîtra au moins deux événements, et qu'à Sommières elle en connaîtra au moins un. (ceux qui parmi nous ont fait un peu de topologie reconnaîtrons aisément les concepts auxquels je me réfère) -- lc30
  8. Môssieu ! vous semblez ignorer que depuis 1986, un règlement ministériel interdit aux nuages, radioactifs ou pas, de pénétrer dans des zones non autorisées sans avoir décliné leur identité ( cirrus, cumulus, stratus, yenaplus....) /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> -- lc30
  9. il y a peut-être de ma part une interprétation un peu osée, mais Bru, voit aussi des problèmes. la date ? étant donné qu'en général on ne sait de très précis 48 heures à l'avance 10/13/15... tout dépendra de la vitesse de l'évolution, mais comme le dit Bru pas mal de modèles voient la même chose. -- lc30
  10. les cartes à 500 hPa de GFS pour mercredi laissent planer plus qu'un doute...Hautes pressions à l'Est, goutte froide sur le proche Altalntique..... et dorsale a 1015 hPa... Les ingrédients sont là.. comment seront nous mangés ? -- lc30
  11. une étude sérieuse semble-t-il qui montre tout autre chose que le matraquage médiatique ! -- lc30
  12. sur la carte : http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/IM...VE/20061003.jpg on voit très bien l'évolution de la banquise par rapport à celle de http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/IM...VE/20060920.jpg -- lc30
  13. Je renvoie dare-dare au souvenir relatif au congrès de Niort en octobre 1998 que j'ai évoqué plus haut ! je résume les propos de l'époque du sieur R.... "El Nino ce sont les gaz à effet de serre" ce qui constitue le mépris le plus total de l'histoire (la triste histoire du Pérou en l'occurence écrite pas les Espagnols depuis le début du XVIème siècle en plein PAG). Qu'Allègre ne soit pas un aigle, c'est vrai mais les donneurs de leçons devraient se regarder dans une glace, car en matière de manipulation d'opinion il y en a de bien plus forts qu'Allègre, que je ne défends pas je le répète ! -- lc30
  14. Sur la solidité des avions : compte tenu des chocs possibles avec des volatiles de toute taille, il y a un essai en aviation qui s'appelle le "canon à poulets" qui consiste à bombarder l'appareil avec des poulets. Donc la résistance mécanique à certains types de chocs est prise en compte dans la construction aéronautique. Evidement un orage de grêle c'est autre chose, puisqu'il s'agit d'un épisode qui dure, et non d'un seul choc. -- lc30
  15. un seul commentaire : plus blindé que toi en matière de fréquentation des risques c'est évident , mais comme toi j'ai éprouvé le même refus moral en 1999 à Villedaigne (Aude). Si tu vas plus loin dans ta démarche, n'oublies pas de faire parler les gens, et saches que tu a fait des photos, peut-être tourné une vidéo, mais que tu as des images statiques alors que les habitants ont vécu une scène de cauchemar sans savoir ni quand, ni comment cela se terminerait. Même s'ils te racontent comment cela s'est passé, tu n'auras pas le bruit ambiant de l'écoulement des eaux, de la vision des choses emportées par les eaux, des propos échangés entre témoins dans le déroulement de la scène. Il est rarissime qu'on puisse l'avoir, on l'a eu à Saint Geniès de Malgoirès en 2002 avec film; j'étais sur place à Sommières le 9 septembre, ce sont des choses que l'on ne traduit pas en mots, en photos ou en vidéo... -- lc30
  16. l'écrit est de 1987, compte tenu des délais d'écriture, d'impression et de publication, il a été écrit en 1985 ! Peux-t-on me donner l'exemple d'un scientifique, ni météorologue ni climatologue qui à cette époque avait les données pour mettre en doute les assertions... Cela m'étonnerait qu'on en trouvât beaucoup, même parmi les spécialistes du climat ! -- lc30
  17. Al termine di un mese di settembre tra i più caldi di sempre, il 1° ottobre l'entrata di aria più fredda dal nord Atlantico ha originato imponenti nubi convettive in tutta la zona compresa tra la Gran Bretagna meridionale, la Francia nord-orientale, il Benelux e la Germania occidentale. In Belgio la zona di Soignies, Braine-le-Comte e Rebecq è stata attraversata da un tornado, e in questi scatti di Pierre Lefin che ringraziamo, possiamo darvene testimonianza. Nelle successive cinque fotografie, vedremo il tornado avvicinarsi e poi danneggiare fortemente una fattoria. traduction : au terme d'un mois de septembre parmi les plus chauds connus, le 1er octobre l'entrée d'un air plus froid venant de l'Atlantique Nord a provoqué la constitution d'imposants nuages convectifs dans toute la zone comprise entre la Grande Bretagne méridionale, le Nord-ouest de la France, le Benelux et l'ouest de l'Allemagne. la zone de Soignies, Braine-le-Compte et rebecq a été traversée par une tornade et dans ces vues de Pierre Lefin que nous remercions, nous pouvons vous en porter témoignage. Dans les cinq vues successives, nous verrons la tornade s'approcher et puis endommager une usine. commentaires : on est bien au-delà de Vendargues, comme en atteste l'état du toit de la maison sur les trois vues suivantes. Par contre on ne peut pas tirer de conclusion de la destruction du hangar où s'ébatent encore quelques poulets, les constructions agricoles pèchent en général par la solidité de leur toit, on l'a vu à Vendargues-Saint-Aunès. F1 au moins... -- lc30
  18. je ne défendrai pas Allègre, quoique s'il avait poussé son raisonnement jusqu'au bout il aurait dû avant tout non pas dégraisser l'Education nationale mais simplement son ministère, car c'est bien là que se trouve le problème de gens qui n'ont jamais enseigné et qui ..... Reprocher un écrit de 1987, à qui que ce soit , sur ce problème, ne relève pas d'une grande honnêteté intellectuelle. En effet à l'époque on savait que depuis 1960 il y avait un problème. Quelles étaient les études sérieuses qui aurait mis en doute le matraquage médiatique de l'époque ? j'ai assisté professionnellement à suffisamment de congrès, colloques, où le thuriféraire de service venait faire son prêche, pour en avoir ras-le-dodu-du-bas-du-dos d'élucubrations qui finirent dans le I "Intergouvernemental" de GIEC. Les observations : le lent glissement des floraisons et fructifications de l'olivier, dans le midi depuis une dizaine d'années ( 2 pas en arrière et un seul pas en avant, pour le réchauffement). la fréquence des incidents méditerranéens généraux ( j'exclus les orages localisés même dangereux comme Puisserguier) qui lorsqu'on se réfère à l'histoire ressemble comme deux gouttes d'eau à la fréquence que l'on observait dans les années les plus froides du XIX ème siècle. c'est de la statistique, je le sais. Et puis l'indice MEI, qui montre à l'inverse que les années à prédominance El NIno furent celles où il y eut le moins de ces incidents avec les inondations équivalentes... et depuis 1990/91 avec un indice variable entre El Nino et La Nina... une recrudescence.... je terminerai en racontant un souvenir d'un congrès à Niort, en Octobre 1998, où le thuriféraire de service , le sieur R...... président français d'une association mondialement connue vint balancer sa prose "El Nino/catastrophe" alors que dans la salle il y avait quelques personnes ( dont pas mal de Météo-France) qui auraient pu répondre. Je l'ai fait personnellement en mon nom, car professionnellement je ne craignais rien , ni personne, ni surtout l'autoritarisme et la nullité de l'intervenant. Les gens de Météo-France sont venus me remercier, car eux .... ils ne pouvaient rien contre leur hiérarchie, enfin contre un de leur supérieur direct... Alors quelle que soit l'attitude que l'on puisse avoir envers une personne, Allègre en l'occurence, malgré ses erreurs ( la Soufrière), son oubli de dégraisser le ministère et pas les enseignants, reprocher des propos écrits en 1987, cela ne vole pas bien haut. Puis il y eut pour moi, Garçon et son équipe grenobloise, enregistrant avec les mêmes appareils dans la très peu polluéee vallée de la Durance... oh pas des variations énormes mais depuis une douzaine d'années une tendance nette mais légère... au refroidissement. les mauvais procès d'intention doivent rester à l'écart du forum -- lc30
  19. donc je résume : les chasseurs n'ont laissé qu'un loup sur la meute habituelle, et un chamois sur le troupeau habituel. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> la prochaine rencontre entre le loup et le chamois ne laissera plus qu'un seul animal... les chasseurs feront le reste /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> -- lc30
  20. bravo pour les photos et surtout pour la comparaison entre 2005 et et 2006, avec le même angle de prise de vues. on a une vue qu'hélas je connais bien des dégâts dans des villages sans que le ruissellement urbain y soit pour quelque chose. A la limite, les obstacles ( le petit pont situé sur la route inondée et la passerelle visible sur la photo de 2005) ont aggravé l'inondation mais cela n'explique pas tout. ce qu'il est important de voir c'est que le déluge de la Saint Crépin, s'est reproduit....... et cela se reproduira immanquablement. Quand ? probablement lorsque la mémoire en sera perdu ( trois générations) et un historien se penchant sur le phénomène,... écrira ce que je suis en train d'écrire. Curer les ruisseaux dans la mesure compatible avec la tenue des berges, supprimer les obstacles sotn les dispositions minimales à adopter... j'ai trop vu cela dans trop de villages aux alentours de Nîmes.... Pour la ville c'est différent, on ne charche qu'à surélever le niveaux des eaux .... sur du karst... donc sur du gruyère -- lc30
  21. sur http://fr.allmetsat.com/images/goes_sigwx_1070.php on note quue quelque chose est en train de se passer, par 30° N et 30 ° W ( au sud des Açores, à l'ouest d'Agadir). Sur la photo ci-dessus cela possède une drôle de g****e. La Navy semble aussi s'en préoccuper avec le sigle "Invest" -- lc30
  22. j'ai eu pas mal de problèmes pour me connecter et je n'ai pas pu faire les citations auxquelles je réponds sur les tornades. veuillez m'excuser. Sur Vendargues Saint-Aunès, certes il y a un poteau béton abattu.... Dans quel état était-il, d'une part ; ensuite une tornade c'est un choc et ce genre de support l'admet très mal : c'est pour cela qu'ils sont abandonné en zone de neige en raison du choc de la décharge de neige. Ensuite il s'agit d'un seul cas ! Ensuite les photos qui sont présentées sur le site du journal, ne permettent pas une analyse aussi rapide que celle qu'on a pu faire à partir des photos de xav-34( et de ma visite sur place). Donc je m'en remettrai aux témoignages qui sont indiqués dans l'article : Gros dégâts aux réseaux électriques : donc on a à faire à un système localisé mais bien plus violent que celui de Vendargues, où exception faite du poteau béton il n'y avait pas de trace de destruction sur les poteaux d'éclairage public. Les indications de brutalité, de bruit, sont tout à fait compatibles avec une tornade ! les toits ! je connais plutôt bien les toits bretons, et j'ai vu à Lancieux les dégâts occasionnés aux toits traditionnels par les tempêtes de 1999, en l'absence de percussion, par conséquent on se trouve au-delà de 200 km/h pour avoir des toitures arrachées. Donc tout concourt à dire qu'il s'agit d'une tornade au moins F1... ce qui n'est pas rare dans cette zone selon les indications de Nico 17/69 -- lc30
  23. cela ne me dérange absolument pas..... mais alors pas du tout ! -- lc30
  24. Vendargues -Saint Aunès : je pense avoir clairement démontré, par ma visite et par l'analyse des photos de xav-34 que la tornade qui frappa fut F0, impensable qu'elle fut F1, il y aurait eu d'autres dégâts, notamment aux toitures ! Inutile d'affoler les gens outre mesure, par contre par une juste mesure leur faire prendre conscience de la fragilité relative ( hum peut-être conséquence d'une incompétence anthropique - voir le scellement-bidon de la clôture sur l'une des photos) de leurs équipements/bâtiments pour un incident somme toute pas si violent que cela effectif il faudrait savoir si on adopte et admet l'échelle fujita et donc si on parle de tornades ou si dans notre coin on définit autre chose afin de créer une maxi-m***** en information. sur le deuxième point, ou bien on a des photos comme pour Vendargues-Saint-Aunès et là indiscutablement il faut aller sur la partie photo, ou pour le maximum de vitesse on met cela dans "observations" pour éventuellement compléter par un dossier dans la partie "photos". Il y a l'information initiale, puis le reportage. deux choses différentes mais complémentaires pourquoi mini-c*******, il y a longtemps qu'en toutes matières et pour tout organisme public et privé a été définie la maxi-c***** -- lc30
  25. les glaciers du kilimandjaro reculent , j'étends l'observation à toute la planète : le réchauffement climatique nous menace ! les glaciers de Nouvelle-Zélande ou de Norvège avancent, j'étends l'observation à toute la planète le refroidissement climatique nous menace ! Tous ceci est topologiquement vrai , et physiquement faux, surtout la première assertion en raison d'une observation qu'on ne peut pas qualifier de ponctuelle au sens de la topologie. il faudrait réfléchir autrement que conformément à l'un des corollaires du principe de Peter qui dit "occupons nous des souris et les montagnes accoucheront bien toutes seules" L'IAO ( incompétence assistée par ordinateur) existe ; toutes les études économiques sur le développement l'ont largement démontré... -- lc30
×
×
  • Créer...