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Prévision des coups de vent
Météofun a répondu à un sujet de Virgile dans Prévisions à court et moyen terme
Ce soir, GFS nous a sortie typiquement une sortie de précipitation incohérente avec les autres paramètres. Voici ce que prévoit en pluie GFS pour demain à 12H UTC. Visiblement, le front à du mal à progresser. En fait, pas du tout : c’est probablement une mauvaise gestion des précipitations, peut-être due à un retard de la dynamique d’altitude. Si on regarde les paramètres dynamiques, on s’aperçoit que tous les signes d’un passage frontal plus précoce sont là. Parmi eux : ThêtaE à 850 hPa Advection de température à 850 hPa Jet de BC TA à 900 Hpa La coupe des thêtaE (situation ici) ne fait que confirmer cette impression avec un retard dans la dynamique d’altitude qu'il n'a peut-être pas très bien géré. Pour valider l’information, il suffi de regarder ce que nous prévois le CEP. Et là, on voit bien qu’il accrédite l’hypothèse d’un passage frontal rapide. Le paramètre frontal (paramétre qui montre les fronts par variation du gradient thermique (/index.php?showtopic=16144&hl='>plus de détails ici)) à 6H et 12H tout comme les advections de température à 6 H et 12H le confirme. Par curiosité, cela aurait été intéressant d’avoir la réponse en précipitation de ce modèle … Bref, tout ceci nous confirme dans l’hypothèse de l’enchaînement du passage du front, tel que décrit dans le bulletin d’IC par exemple, et non par simple lecture de la réponse en précipitation. Bonne nuit /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> Christophe PS : Les liens sont permanents. -
Prévisions Nord et Ile de France
Météofun a répondu à un sujet de Nico 080 dans Prévisions à court et moyen terme
Juste une petite précision : ce n’est pas pour cette nuit ce que j’ai écris dans le bulletin national, mais dans la journée (fin de la matinée et mi-journée principalement pour l'IDF) /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Normalement, après les pluies le vent devrait faiblir sur terre : on est dans une situation a fort jet de BC.Sinon, effectivement, la situation s’annonce plus fort que ce qu’on a eut au mois de novembre dans les terres. Ce type e situ est quand même un grand classique. La succession de cyclogenèses rapide que l’on avait il y a peu au large de l’Europe était moins banal. @+ Christophe -
Bon anniversaire ! Notre président à donc 40 ans … Pas de doute IC est tenu d’une tenu d’une main de maître par un passionné. En te souhaitant bon anniversaire Riton, je souhaite un plein épanouissement à toi-même, mais aussi à Infoclimat ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Au passage, bon anniversaire à notre « ex p’ti jeune » aux connaissances et capacités pédagogiques exceptionnelles. Jean-Steph’, la majorité, ça ce fête ! ! !
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Prévision des coups de vent
Météofun a répondu à un sujet de Virgile dans Prévisions à court et moyen terme
Je suis désolé, je n’ai pas trop le temps d’être complet se soir. La situation est pourtant passionnante. Le lien donné par Cotissois est particulièrement intéressant. On voit bien sur l'image sat l’intrusion sèche d’altitude avec la formation d’une sorte de fente (en rouge foncée) caractéristique des situations très dynamique en altitude. Par contre, un creusement explosif très important ne me semble pas l’hypothèse la plus probable. Une bonne cyclogenèse (explosive ou pas) est à priori acquise, mais attention à ne pas la surestimer. En effet, si on regarde toujours sur cette image sat, on note que la signature du jet est très nette, mais l’activité de basse couche est loin d’être de la même envergure. Elle est bien visible, mais sans plus. D’ailleurs, si on regarde l’anomalie thermique chaude de BC on voit qu’elle n’est pas exceptionnelle, tant en terme de valeur qu’en terme d’advection. Cela limite par conséquent beaucoup l’interaction. Si on reprend /index.php?showtopic=17082&st=220#'>mon post d’hier, on est assez proche de la première situation (analyse de la tempête de vendredi à samedi). Je n’ai pas le temps de revenir sur les autres cyclogenèses, mais sur /index.php?showtopic=17082&st=220#'>mon post et /index.php?showtopic=17082&st=240#'>celui de Calou, il y a pas mal d’éléments pour interpréter les différents champs et évolutions qu’il y a eu depuis l'analyse. Ce type de post est fait pour rester valable dans le temps puisqu'ils se concentrent sur la compréhension des mécanismes. @+ Christophe -
Prévision des coups de vent
Météofun a répondu à un sujet de Virgile dans Prévisions à court et moyen terme
La situation à venir est particulièrement intéressante. La dépression de jeudi a des chances d’être assez banale chez nous (vent fort quand même sur la moitié nord). J’aimerai revenir sur la différence entre les deux creusements dépressionnaires suivants. Ces deux cyclogenèses sont toute les deux appréhendée par l’ensemble des modèles. Sur la première (nuit de vendredi à samedi), les modèles sont d’ailleurs assez concordant. Par contre, sur la seconde, de grosses différences peuvent être mises en évidence. Notamment, GFS nous sort une véritable bombe qui n’est pas vu du tout de la même façon par les autres modèles. Pour la première des deux cyclogenèses, on note bien que le précurseur est essentiellement un précurseur d’altitude. On a un bon forçage d’altitude qui déboule sur le nord-ouest de l’Atlantique associée à une sortie gauche d’un très puissant rapide de jet (situation classique, mais bien prononcée). La divergence associée (visible par la zone avec le signe +) de ce moteur dynamique tourne un bon moment dans le vide avant de trouver une structure de basse couche pour interagir. En effet, l’anomalie chaude basse couche fait grève ou presque. Au bilan l’advection chaude de basse couche est bien timide malgré le dynamisme de l’advection froide à l’arrière. Du coup, on n’observe qu’un étirement du talweg et une cyclogenèse finalement assez poussive (relativement parlant, on est d’accord) dans un premier temps pourtant la dynamique d’altitude est toujours bien là. Il faut attendre une meilleur mise en phase avec l’anomalie de BC (en terme de valeur énergétique comme en advection (7)) pour voire la réponse en terme d’anomalie de pression prendre un peu d’ampleur. Pour résumer, sur ces séquences, on voit bien le déplacement de l’anomalie de tropo et l’advection chaude qui ne se met en place que bien plus tard. En conséquence, on a un système au développement à la rapidité modéré et spatialement relativement important. Le vent fort risque donc de concerner l’ensemble de la France. Les conséquences exactes restent à confirmer. La seconde perturbation en bien différente. Le précurseur est un précurseur de BC particulièrement dynamique. Il se trouve que GFS la voit errer bien longtemps avant d’interagir avec l’altitude. Par contre, l’anomalie d’altitude est vu très dynamique et balayer l’est Atlantique, ce qui peut explique la rapidité de la cyclogenèse. Les autres modèles ont tendance à voir cette puissante anomalie de BC être plus rapidement pris en charge par une anomalie nettement moins mobile. La situation est alors moins explosive et le creusement est plus lent, concerne une zone plus importante et est à déplacement moins rapide. Si on regarde GFS, on note effectivement une belle anomalie thermique de BC visible ici à l’extrême gauche de la carte. Cette anomalie thermique est en association avec une anomalie de tourbillon. Par contre, en altitude, c’est plutôt plat. Il faut attendre samedi en fin d’après-midi pour voir une dynamique d’altitude plus importante. Cette anomalie de tropo, présente un peu plus au nord la veille et met du temps à se présenter au niveau de l’anomalie de BC. Par contre, après tout s’emballe : ici en surface et là en altitude. Deux belles anomalies qui entrent en phase ne fond pas bon ménage et s’amplifient mutuellement très rapidement. Si on regarde comment évolue le modèle canadien, on trouve une réponse bien différente. L’anomalie de BC est vue très importante, mais elle va rapidement trouver de quoi s’associer à une anomalie pas très mobile d’altitude . Au finale, la cyclogenèse démarre plus tôt, est plus lente et donne un système beaucoup plus vaste et qui ne balaye pas l’ouest du Golf de Gascogne. C’est à comparer avec ce ce que prévoie GFS pour la pression de surface. En bilan, on voit que GFS est assez isolé pour voir une vrai cyclogenèse explosive, mais le risque est bien là. Il convient donc de surveiller la vigueur et la propagation de l’anomalie de BC. Il faut surveiller le déplacement des anomalies de tropo (vers le sud, mais aussi la vitesse de déplacement). Le but de ce post est surtout de donner des éléments pour analyser les évolutions à venir qui ne manqueront pas d’arriver … A suivre … @+ Christophe PS : les liens sont permanents -
Désolé pour le lien : il remarche maintenant. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> J'ai regardé sur la carte à 1000 hPa que tu as donnée et celle à 925 hPa. La réponse dépend des régions. Il ne faut pas tenir compte des régions situées trop haut car la correction pour une mesure qui n'existe pas, c'est pas terrible ... Sinon, on remarque que sur les océan, même à 925 hPa, ça a plutôt tendance à réagir comme en surface. Pour les région polaires, à 1000hPa, c'est plutôt comme en surface, mais à 925, c'est plutôt comme en altitude. Dans ce cas, l'explication des inversions thermique tient plutôt bien la route.
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Déjà, merci à Cotissois d'avoir lancé le sujet, c'est vrai que c'est intéressant. Concernant le problème que tu as mis en évidence, Charles, j'ai d'abord cherché à reprendre les anomalies avec les réanalyses, et là on voit que malgré une certaine concordance, il y a quelques différences dans entre les deux cartes supposées similaires. L'exemple de l'Europe est assez saisissant. Doit-on douter de la réelle précision des réanalyses ? Peut-il y avoir un lien avec le fait que les modèles météo ont des difficultés à modéliser les températures de surface même en analyse ? Juste une question, à quoi correspondent les abréviations « L-OTI » sur ta carte ? Ensuite, si on compare la carte à 850 hPa avec la carte des températures au sol pour l'année, on note que la corrélation globales n'est pas idiote. Il y a quand même des différences que tu soulignes, on peut éventuellement tenter une explication. Les principaux écart viennent des régions polaires (peut-être du à la variation de la durée de l'enneigement, ce qui a une influence plus importante au sol qu'en altitude) et des mers qui ont tendance à annihiler toute modification avec rôle modérateur de la température des océans qui augmente moins vite (est-ce bien le cas d'ailleurs ?) ? D'autres avis ?
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Très intéressant et instructif ce topic … Juste, je croyais quand même les zones convectives équatoriales étaient elles aussi un lieu d’apport non négligeable par les overshoots ? (En plus, bien évidemment, des interactions dynamiques liées aux jets et anomalies actives en interaction avec une bonne frontogenèse)
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Prévisions Sud-Est et Corse
Météofun a répondu à un sujet de TreizeVents dans Prévisions à court et moyen terme
Très rapidement, à noter que dans un premier temps, c’est-à-dire à partir de mercredi, il s’agira surtout de pluies orographiques. L’épisode devrait s’installer dans la journée de mercredi et les pluies se renforceront dans l’après-midi sur le relief. En plaine, tout cela restera plutôt irrégulier sous un ciel franchement couvert. Normalement, atténuation dans la journée de jeudi sur le relief Cévenol. Le caractère stratiforme prévisible de cette première partie est bien mis en évidence avec cette advection chaude d’altitude. Arrivée d’une zone plus dynamique dans la nuit suivante mais pour les modalités, comme le dit Crack, cela reste à préciser. Accalmie progressive en fin de week-end par l’ouest de bassin. D’un avis strictement personnel, actuellement, je ne pense pas à un truc de monstrueux, mais à un épisode pas très court mais à l'activité moyenne globalement. A suivre ... -
En faite, c’est vraiment un site tentaculaire avec une base de donnée vraiment phénoménale. Les possibilités à partir de la page générale donnée en haut sont absolument hallucinante et mes réserves en ce qui concerne la force du vent (un peu trop rapide : je n’avais –et ai- pas encore tout découvert) n’ont plus vraiment lieu d’être !En plus des lien déjà donnée, on celui là (d’où viennent les images de Cotissois) http://www.cdc.noaa.gov/cgi-bin/Composites/printpage.pl ou celui-là : http://www.cdc.noaa.gov/Composites/Day/ Et encore tant d’autre … /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> A vous de jouer maintenant ! ! ! ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Alors là, c’est vraiment étrange parce qu’hier soir, ils marchaient très bien tes liens …J’avais d’ailleurs essayer de trouver la page d’accès complète html en remontant sur les dossiers parents, mais je n’avais que des répertoires, donc je ne sais pas si tu la connais (s’il y en a une). Sinon merci pour ce que tu proposes : y’a pas photo, comme ont dit. C’est assez impressionnant, surtout quand on voit la durée finalement assez longue de l’échantillon de données !
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La nuit portant conseil, je me suis aperçu que j’avais peut-être été un peu confus au niveau du rôle de la température de l’océan. Ces aspects se trouvant un peu noyés dans le reste. Pour résumer mon point de vue, il y a 2 rôles principaux : 1) Les SST influent sur la position de la zone barocline moyenne, mais au même titre que d’autres aspects (continents, montagnes, …) 2) Les STT influent au niveau météorologique par l’intermédiaire des anomalies de BC qu’elles génèrent. Mais finalement, visiblement tout le monde est plus ou moins sur la même longueur d’onde à ce niveau. Par contre, ce qui serait intéressant, c’est si quelqu’un à des données quantitatives pour connaître le rôle joué par chacun des phénomènes par rapport aux autres. @+
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Tu peux aller, par exemple, là, ou là.
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Bonjour à tous, Pas d’inquiétude, je n’avais oublié le sujet … Si cette personne a fait des études sur le sujet, elle doit savoir ce qu’elle dit, ce doit juste être une question de présentation entre une phénoménologie descriptive et une phénoménologie explicative (par la dynamique) … /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">Cependant personnellement, je suis certain qu’il n’y a pas eu de retour vers l’ouest du flux d’ouest. Hier, je suis tombé sur un /index.php?showtopic=17381'>site de la NOAA absolument fantastique pour les archives et sur les cartes d’altitude (je te laisse trouver les analyses et étudier les paramètres disponibles à différent niveaux et jusque toutes les 6 heures ! ! ; on peut choisir sa zone), on voit au contraire les passages successifs des différentes ondulations vers l’est … Globalement, on voit bien que ce que je disais en terme de dynamique la dernière fois tiens globalement la route avec ces données supplémentaires. Si tu as des questions sur le sujet, n’hésite pas ! Concernant l’influence du courant d’ouest sur la vague de froid, je pense que c’est un peu ambigu comme relation. Ce que l’on peut dire c’est que le temps présent (donc antérieure) détermine le temps futur en distribuant les anomalies thermiques et de tourbillon. Pour justifier la position du maximum de l’activité barocline à l’ouest du bassin, il faut voir aussi au-delà des SST. Le courant zonale d’altitude est fortement perturbé dans l’hémisphère nord par les grandes chaînes de montagne et les continents, ou plus exactement, les discontinuités de surfaces qui induisent des variations dans les réponses énergétiques et des perturbations. A ce niveau, les SST ont très certainement un rôle. On peut le voire nettement avec le site précédent. Si on fait une moyenne sur DJF, par exemple (on a ici les liens pour 1999/2000 et 2003/2004, deux années bien différentes), on note bien la position moyenne de ces ondulations de grande échelle. Il convient de ne pas confondre avec les ondulations météorologiques qui sont loin d’avoir nécessairement la même place, mais qui sont très souvent présentes (ce lien donne l’analyse du moment et n’est volontairement pas sauvegarder puisque les ondulations sont quasiment toujours visibles …).La même chose dans l’hémisphère sud (JJA) ne donne pas les mêmes résultats : on n’observe pas réellement de différences dans les ondulations, preuve de l’influence des continents. D’ailleurs, dans l’hémisphère sud, les dépressions stationnaires en fin de vie (celles qu’on a comparées aux gouttes froides) sont beaucoup plus rares. Autre remarque intéressante, les différences entre été et hivers sur les cartes présentées sont très réduites dans l’hémisphère sud par rapport à l’hémisphère nord. Une moyenne sur plusieurs années (1979/2004) est tout autant parlante. Le vent thermique permet de bien faire la liaison entre les épaisseurs et le vent moyen (écoulement barocline) comme on peut le voir ici. Je rejoins Sirius sur le point de l’anomalie. Tu parles de quelle anomalie ? Une anomalie de TA en altitude engendrant un forçage d’altitude ou d’une anomalie de thêtaE suite à l’apport des eaux chaudes ou autre chose ? Dans chaque cas, pris isolément, la réaction est différente. Je pense que tu as bien compris la chose, mais c’est clair qu’une suite schématique comme cela n’est pas représentative des cas réels et ne prend pas en compte la globalité théorique. Dans l’ensemble, c’est toujours (ou presque) le jet qui va déterminer la dynamique de déplacement globale. Par contre, c’est vrai que les SST joue probablement un rôle dans les anomalies de BC et les conditions locales favorables au développement barocline (précurseurs de BC). Mais le moteur reste la dynamique barocline qui peut, dans ce cas, être modifié en retour par une éventuelle cyclogenèse et donc, si tu veux (mais alors e façon franchement indirecte) par les SST si celle-ci à joué un rôle dans la mise en place du précurseur de BC.Je ne sais pas si c’est très clair, mais si tu as des questions à ce niveau n’hésite surtout pas. Passons maintenant aux aspects plus climatologiques évoqués par Sirius. Je suis vraiment nul en climato, donc il ne faudra pas m’en vouloir si je ne comprends pas bien les concepts … /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> Oui, ça par contre, je le comprend bien. Mais je croyais que l’hypothèse de l’albédo était le facteur le plus prépondérant. En effet, comment expliquer s’il n’y a que l’aspect radiatif, des différences aussi énormes dans les prévisions de température entre le pôle nord et le pôle sud ? Je veux bien que les différences dans la réponse sur la circulation moyenne aient une influence, mais de là à expliquer l’ensemble de cette différence…Sur ces sujets de vapeur d’eau, je vais lire en détail le sujet correspondant sur ce forum… Concernant les Polar-low, c’est vrai que la liaison est tentante. Mais (et c’est tout à fait personnel), je ne suis pas franchement convaincu si on considère uniquement cet aspect. En effet, ce type de perturbation nécessite des conditions bien précises au niveau de la dynamique pour pouvoir s’organiser (par exemple une baroclinie de basse couche peut aider, ou encore un précurseur d’altitude, …). Ceci dit, ces conditions pourront parfaitement ce retrouver au-dessus de ces nouvelles zones (du moins, je ne voie pas pourquoi il pourrait en aller autrement …). Mais ces systèmes ont besoin de beaucoup d’énergie, notamment au niveau de la vapeur d’eau. En cela, une eau très froide n’est pas favorable. Or, ces nouvelles zones libres resteront quand même très froides et ne me semble pas forcément extrêmement favorable à ce type de cyclogenèse (même si c’est mieux que de la glace, on est d’accord !). Je pense qu’il convient d’avantage de s’intéresser à la variation de la zone avec une température de l’eau supérieur à 2-3°C pendant la période froide (où à lieu le maximum d’occurrence puisque c’est là où le différentiel entre la température de l’air et la température de mer est maximum). Et là, je n’ai pas vraiment d’idée, mais il est néanmoins possible que cette surface n’évolue pas en rapport avec la libération des glace puisque très dépendante des courants et apports plus chaud.Amicalement, /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Christophe
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Je viens de tomber sur un des multiples sites de la NOAA absolument remarquable pour ces données (mais peut-être que beaucoup d’entre vous le connaissent déjà …). Oubliez les archives Wetterzentrale (quoique Wetterzentrale est plus facile d’utilisation si vous voulez vous en tenir à ces cartes) ! http://www.esrl.noaa.gov/psd/ Je vous laisse découvrir tout son potentiel, mais les données archivées des réanalyses sont nombreuses au niveau des paramètres, des niveaux et des pas jusqu’à 4 fois par jours, et concernent le monde entier (on peut choisir n’importe quelle zone) ! On peut non seulement choisir les valeurs pour une date précise, mais on peut faire les moyennes sur n’importe quelle donnée et durée depuis 1948. Je me contenterai de deux points un peu regrettable. D’une par, les données sur le vent ne sont pas très facilement exploitables puisque séparées, pour l’essentiel, en composante zonale et méridienne. C’est certes fondamentales si on veux récupérer les données brutes pour mettre les termes d’advection ou de divergence, mais bon … Autre point dommageable, on ne peut mettre qu’un seul champ de données par carte. Mais par rapport à ce que je connaissais avant, pas de doute, c’est spectaculaire et j’en suis vraiment fan. /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> Je vous propose ici, à titre d’exemple, la valeur moyenne du vent zonal à 300 hPa du 25 ou 28 Décembre 1999 (Exceptionnelle sortie de jet moyen sur la France pendant la période…).
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pression atmosphérique et santé
Météofun a répondu à un sujet de julfluxx dans Météo, environnement et société
Pas de doute js, Médecine, ça te monte à la tête … /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Sinon, je suis du même avis en ce qui concerne le sujet : les varitions de pression atmosphériques me paraissent dérisoires. -
Prévision de la saturation de basse couche par inversion
Météofun a répondu à un sujet de Météofun dans Questions - réponses sur la météo
Merci beaucoup à tous pour vos réponses . C’est très intéressant d’avoir le retour de professionnels. Merci aussi pour les liens Houyo et ta méthode détaillée. Pour Cotissois, c’est vrai la situation était biaisée dés le départ puisque les coupes qu’on pouvais avoir ne montraient aucune condensation même à H+3 ... Pour Olivier, c’est vrai que le vent a été plus faible que prévu … Mais on est un peu dans la situation de l’œuf et la poule (rétroaction positive). Si les basses couches avaient plus chauffées, il est probable que le vent se serait renforcé sous l’influence du brassage évoqué par js. Amicalement, -
Prévisions Nord et Ile de France
Météofun a répondu à un sujet de TreizeVents dans Prévisions à court et moyen terme
Je reconnais avoir été franchement optimiste sur la dissipation de ce plafond de très basse couche, avec les conséquences thermique que l’on connaît. Pourtant, cette évolution à défaut d’être une surprise, ne correspond pas vraiment à ce qu’on pouvait dire hier à partir d’une analyse construite. Mais j’ai peut-être (probablement ?) raté un élément. Je vous propose donc de discuter de la prévision de ces phénomènes de basse couche sur le sujet que j’ai ouvert dans la /index.php?showtopic=17327'>partie technique. -
Suivi du temps dans le Nord et l'Ile de France
Météofun a répondu à un sujet de Laurent15 dans Le temps en France
A ce sujet, je viens de poster /index.php?showtopic=17327'>ici dans le forum technique un nouveau sujet pour évoquer les difficultés de prévision de ce genre de phénomène et tenter de dégager des idées un peu plus précises sur le sujet. Avis à toutes les personnes intéressées par le sujet.PS : Je rejoins tout à fait Houyo en ce qui concerne la critique gratuite (non constructive et argumentée) de MF qui n’amène pas à grand-chose … A la limite, cela peut être compréhensible pour Mr Lambda qui n’y connait rien en météo, mais pour un passionné quand même ! Aller un petit effort! -
En terme de prévision, l’évolution du plafond stratiforme dans les inversions de BC est probablement une des plus grosses difficultés au niveau prévisionnel, avec, par exemple, des variations de prés de 10°C entre prévi à H+12 et observation … Aujourd’hui n’a malheureusement pas dérogé à la règle. En prévision, j’avais posté ça : Sauf que ça a clairement foiré. Le but de l’ouverture de ce sujet est donc d’essayer de voire comment améliorer la prévi de ce genre de phénomène de façon rationnelle. De façon rationnelle, j’entends, de façon construite et réfléchie et non de dire bêtement qu’il n’y aura aucune évolution. Dans ce cas, et vu les sorties de modèles disponibles j’ai du mal à voir comment on pouvait raisonnablement anticiper sur une telle tenue de cette couche saturée de très basse couche. Tout n’étais pas très clair comme je l’avais écrit, mais il y avait quand même tout un faisceau d’indice qui allait dans le sens d’une amélioration il me semble. J’ai sûrement mal analysé un truc, et il était probablement possible de faire mieux. Ce serait donc sympa si des intervenants ont des idées plus précises en terme de démarche ou de méthode d’analyse prévisionnelle pour améliorer les résultats de ce genre de prévision.
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Suivi du temps dans le Nord et l'Ile de France
Météofun a répondu à un sujet de Laurent15 dans Le temps en France
Les éclaircies commencent à arriver (pas trop tôt ...). Les Températures sur le Val d’Oise "au soleil" doivent probablement déjà approcher les 8-10°C actuellement. Patience, le soleil et la douceur arrivent pour cet après-midi pour l’ensemble de l’IDF (du moins pour quelques petites heures). PS : Bon anniversaire Antoine. -
Prévisions Nord et Ile de France
Météofun a répondu à un sujet de TreizeVents dans Prévisions à court et moyen terme
Demain pourrait être assez surprenante comme journée. Elle devrait commencer par une grisaille et une très grande fraîcheur, mais vers la mi-journée, les éclaircies ont de réelles chances d’apparaître très franchement avec dans l’après-midi un probable très beau soleil dans le ciel francilien. Dans ces conditions, les températures devraient faire un sérieux bon et les 10°C devraient être largement atteint voire un peu dépassé. Un petit point technique intéressant. Sur le sondage de Trappes de ce midi, on voit bien la très belle inversion. Par contre, la partie « saturée » est particulièrement fine et donc très fragile. Si on regarde les prévi de sondage NMM de Trappes, on remarque tout d’abord que la prévi à H+3 (aujourd’hui à 15H UTC) n’est pas terrible du tout dans les basses couches avec une mauvaise représentation de la couche saturée de l’inversion. La comparaison avec le sondage mesurée de 12H est assez frappante. Le sondage prévu pour demain à la même heure est assez clair : le risque d’un plafond stratiforme à bel et bien disparu. Pourtant, on vient de voir que le modèle ne simule pas très bien la chose. Alors que faire ? Aujourd’hui, des éclaircies ont réussi à percer. De plus, la couche saturée a complètement disparue dans le sondage prévu pour demain. La faible épaisseur de la couche concernée et l’observation d’aujourd’hui ainsi l’évolution prévue sont relativement concordantes. Dans ces conditions, tout porte à croire que l’après-midi devrait être agréable. La dissipation devrait être un peu plus tardive à l’est et surtout au nord de l’IDF mais le soleil dans l’après-midi ne devrait généralement pas être compromis. @+ Christophe Edit : J’ai peut-être été un peu optimiste hier au niveau du timing (ainsi qu’au niveau de la forte résistance de la couche saturée au sud-ouest et à l’ouest de la RP). Il faudra attendre le début de l’après-midi pour voir le soleil se montrer plus généreusement en IDF. La transition thermique n’en sera que plus spectaculaire … -
Hé ! Si ! Je viens de passer par là (certes avec un peu de retard …) ! Je risque par contre de ne pas vraiment être à la hauteur de vos attentes … Globalement, je pense que d’un point de vue météorologique les idées sont là.Pour commencer, je trouve que cette idée de sujet est particulièrement intéressante. Dans un premier temps, on peut aborder le sujet des tempêtes. Si on s’en tient d’un point de vue strictement météorologique, à anomalies exactement égales (tant en BC qu’en altitude, en terme de puissance, d’évolution, …), l’intensité des cyclogenèses augmente avec la vitesse de l’écoulement barocline. De cette généralité, on va tenter de l’étudier plus en profondeur pour la replacer dans le contexte de l’évolution climatique. En matière d’évolution climatique, j’ai un gros manque de connaissance, il s’agira donc plus de questions (certaines pouvant même éventuellement paraître comme ridicules) ou d’hypothèses « à la louche » dont on dispose, pour certaines, certainement de chiffres précis. Commençons par voire l’écoulement barocline. Il est directement lié à un fort gradient thermique. C’est donc effectivement un problème intéressant. Si on prend pour hypothèse une augmentation plus rapide des températures dans l’hémisphère nord, on serait tenter de croire que le gradient thermique va diminuer. Prenons des chiffres. Imaginons, actuellement, dans les tropiques, on a 20°C pour -10°C au pôle (chiffres bidons mais qui doivent néanmoins plus ou moins représenter la réalité), soit un delta de 30°C. Imaginons qu’avec le réchauffement, on perd 5°C dans cette variation. On a donc un gradient tropique/pôle qui passe de 30 à 25 °C. La différence bien qu’importante n’est pas non plus excessive, surtout si on regarde d’autres aspects. Météor a dit que les cellules de Hadley risquaient éventuellement de remonter vers le nord. Rien que cet aspect est suffisant pour supposer qu’on se rapproche du gradient de température actuelle (variation plus faible, mais distance, elle aussi plus faible). Ensuite, on dit que les températures aux pôles augmentent plus. Mais ne serait-on pas tenter de dire qu’une partie de cette augmentation provient d’une diminution de la durée d’enneigement. Auquel cas, c’est plus une diminution dans la durée que dans l’intensité (au passage, je ne sais pas si c’est une bonne explication saisonnière puisque actuellement, on observe un sérieux regain climatique moyen de l’activité barocline dés le début de l’automne lorsque les pôles commencent nettement à se refroidir, mais avant que la neige ne joue un rôle significatif en terme de surface couverte). Voilà pour les généralités sur le gradient de température. Observons maintenant que la zone du maximum d’activité barocline ne reflète pas du tout une décroissance régulière des températures avec la latitude. En gros, l’activité barocline est conditionnée par des processus planétaires (l’échelle est importante) d’augmentations du gradient de température, via des advections de température à grande échelle, donc de la situation météo. On peut alors s’interroger sur la fréquence de mise en place de ce type de situation dans le futur. Cela peut dépendre de modification de la circulation planétaire, de variations dans les SST, de variations dans la stratosphère, de réponses régionales différentes d’un point de vu énergétique, … et que sais-je encore. Pas simple comme problème. D’autant pas simple qu’il faut considérer la problématique dans les trois dimensions. En effet, un écoulement barocline est du à des différences dans la répartition thermique qui touchent toute la troposphère. Il ne suffi donc pas de regarder comment risque d’évoluer les températures au sol (l’effet est mineur), mais bien sur toute la verticale. Et là, je n’ai aucune idée si la différence d’évolution dans l’accroissement des températures entre tropique et pôle est prévue aussi importante au sol qu’en altitude (je ne serais pas tout étonné que les variations soient un peut gommées, surtout au niveau des pôles). Il ne faut pas oublier non plus que les advections de température qui mettent en place l’écoulement barocline ne proviennent pas nécessairement du pôle profond ou des entrailles des tropiques, ce qui atténue encore l’effet de cet hypothétique diminution du gradient. C’est un peu long, mais je voulais absolument bien montrer que l’évolution de l’écoulement barocline n’est absolument pas du tout évidente. J’ai du d’ailleurs oublier un certain nombre d’éléments, mais j’espère avoir été assez convainquant. Dans tout cela (et ce qui suit d’ailleurs …), si pour les aspects strictement météorologiques je suis à peu prés sûr de moi, il n’en n’est pas du tout même pour les aspects évolution climatique. Donc si des personnes confirmées sur le sujet (Stalbuck, Torrent, Météor, CM, et d’autres) peuvent confirmer ou infirmer, faut pas se priver … Donc, au final, je rejoins Damien pour dire que les aspects dynamiques ne sont surtout pas à négliger dans l’affaire. Déjà actuellement, la vitesse de l’écoulement de référence est extrêmement importantes, mais la mise en phase entre les différentes anomalies (thermique, de tourbillons, … et aux différents étages) est toute aussi primordiale. On ne va pas revenir ici sur l’ensemble de ces éléments (sauf si certains le demande) puisque le forum technique et certains message en prévision reviennent longuement sur ces aspects. Effectivement, il convient donc de s’intéresser à la dynamique des ces anomalies et aux modifications que cela pourrais entraîner. En altitude, il faudrait connaître l’évolution future de la stratosphère qui émet un certain nombre d’anomalies et savoir si des variations dans le nombre ou la dynamique de ces éléments sont prévues. L’influence de la dynamique (frontogenèse ou cyclogenèse (et là on se mord la queue en quelque sorte …) notamment) est importante puisque les anomalies qui en résultent évoluent et peuvent servir de précurseur à leur tour. En basses couche, comme Damien l’a dit, l’influence des anomalies chaudes, fournisseuses d’énergie (sous forme sensible comme latente avec les précipitations) est primordiale (à ce sujet, j’irais pas jusqu’à dire que la plupart viennent de cyclones … /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> ). Les variations dans la dynamique de BC (tant au niveau thermique que dynamique (tourbillon)) risquent donc effectivement d’être aussi un élément prépondérant. Au final, sur ces aspects, on n’y voie pas forcément beaucoup plus clair après mon message (j’ai plutôt apporter des éléments de problématiques selon mon point de vu personnel, donc ce n’est pas forcément l’idéal), mais comme l’a rappelé Météor, il doit bien y avoir des éléments de réponses plus précis issus de simulations numériques. J’aimerai revenir maintenant sur différents points qui ont été abordés … Ceci concerne ce qu’on appel couramment la dépression semi-permanante d’Islande. D’un point de vu météorologique, j’ai horreur de ce terme, mais bon … Ce type de perturbation est souvent en faite une perturbation barocline en fin de vie. Il faut bien comprendre que ce centre d’action (Haï ! !, décidément, je renie les principes météo puisque centre d’action, du moins sous ce sens là, est une ineptie météorologique, mais si c’est pour me faire comprendre …) est en fait constituer d’une anomalie froide sur quasiment toute la troposphère. La comparaison avec une goutte froide n’est forcément idiote. Résultat, la circulation cyclonique concerne toute la couche. Or, les perturbations baroclines dans leur phase de croissance ont deux noyaux de tourbillon principaux : en altitude et dans les BC. Une telle perturbation est très dépendante du jet, mais le modifie en retour. On comprend alors que cette situation est bien différente. Les dépression en fin de vie que certain ont appelé à centre froid (pourquoi-pas, ça reflète bien la réalité) sont capables d’agoniser très longtemps tant que l’anomalie thermique reste présente (et c’est bien la variation de température avec l’environnement plus que la valeur absolue qui est importante). Elles sont souvent situées au nord du jet et sont maintenant relativement peu dépendante de ce dernier. Par contre, l’anomalie thermique source de la baroclinie est assez influencée par l’évolution de ces perturbations. C’est peut-être un peu confus, mais c’est vrai que ce n’est pas forcément très facile comme notion. C’est vrai que si quelqu’un à des pistes pour lier ce phénomène météo et le réchauffement (dans les conditions de mise en place), ce peut être des pistes très intéressantes dans la problématique de ce sujet, pour tenter de s’affranchir un peu de l’aspect purement météo.Par ailleurs j’accroche à 100% au post de Cotissois et j’en profite pour faire remarquer qu’il faut faire attention dans le traitement de la NAO. C’est juste un révélateur issu des pressions mais qui n’implique pas grand-chose en terme de circulation atmosphérique. En fait, il n’implique absolument rien du tout (c’est juste un indice), et ne révèle à mon sens pas foule de chose. D’un point de vue personnel, je ne suis pas fan du tout de cet indice, mais c’est sûr, c’est mieux que rien … Pour finir, Torrent, j’en suis navré, mais je n’adhère pas trop à cette idée du retour vers l’ouest de l’ondulation avant la vague de froid. On a bien une décroissance de l’activité zonale avec la mort progressive de l’activité barocline puis, mais plus tard, de l’anomalie froide qui fini par s’évacuer très lentement vers la Nouvelle-Zemble (bien visible le 25). Il s’ensuit alors une courte période très peu dynamique avant qu’un très violent couple d’advection froide au Canada et chaude sur l’Atlantique ne change complètement la donne (le 28). Les advections de faible TA renforcent violemment l’anomalie de pression positive sur la Scandinavie (le 29). A partir du premier Février, rebelote pour sur l’Atlantique, plus durable celle-là, avec les conséquences que l’on sait. Je vous laisse aller voire sur les archives ici ou ici. C’est plus comme cela que je vois la mise en place. Voili-voilou … J’espère avoir été suffisamment constructif. Il y a sûrement plein de choses à dire en plus, mais je pense que mon message déjà assez long comme ça …
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Je profite du sujet pour appuyer les dires de gbl et confirmer (puisque son avis pourrait éventuellement paraître un peu partial /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) que La Météorologie (très peu chère avec l’adhésion SMF) et Met-Mar sont deux revues très bien illustrées, fort intéressantes et effectivement plutôt accessibles. Bravo aux équipes éditoriales ! /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Oui, effectivement Cerebra, je me suis mal exprimé … Ce qui me « perturbais » c’était simplement le fait de balayer les sorties du modèle couplé de MF. Le reste du message ne s’adressais plus du tout à toi, mais était plus une généralité sur différents messages précédent. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Concernant cette absence de tendance, je considère qu’il est préférable qu’un modèle sorte une équiprobabilité de situations plutôt qu’une situation erronée. Mais sûr que ce n’est pas très exploitable sans autre information complémentaire. A ce sujet, je rejoins les dires de Bicri. Actuellement, et avec les éléments dont on dispose sur le net, on ne peut faire aucune analyse. Du coup, on est un peu contraint d’absorber les résultats tout faits sans savoir quoique ce soit d’autre. C'est très différent de la prévi météo à court terme où on dispose d’une foule de moyen pour moduler et adapter les sorties des modèles.