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ribi

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  1. L'hypothèse de précipitations sous forme de sphères paraît très bonne pour toutes les précipitations liquides, à cause de la capillarité, et même pour la grêle apparemment. voir http://www.agrobiosciences.org/IMG/pdf/La_goutte_d_eau.pdf Qu'est-ce qui coince ?
  2. Bonsoir, Je reviens à la charge ce soir. La valeur des rafales apparaissant dans les cases détails de météoalerte pour les stations SYNOP me paraissent erronées. Ce ne sont pas les valeurs des rafales sur 10 minutes, comme on peut s'en rendre compte en comparant avec les mêmes données sur le site infoclimat : Exemple (cliquer) : Les valeurs de vent maxi et de vent moyen sont en accord entre les deux tableaux (aux erreurs d'arrondis près). Par contre, la valeur de rafale de météoalerte reste toujours basse et très improbable (pourquoi le vent se calmerait toujours juste avant le relevé ???) alors que la valeur de rafale sur 10 minutes d'infoclimat a une répartition statistique plus sympathique. Pour moi, il s'agit d'un bug de traitement des synop sur météoalerte. Merci de transmettre aux programmeurs ou de me corriger si je fais erreur.
  3. Merci Kiks83J'ai pensé dans un premier temps que tu avais raison. Mais il reste des points bizarres : Comment expliquer dans ces conditions que, à Embrun (et à d'autres endroit), le vent entre n heures moins dix et n heures soit systématiquement très inférieur au vent le plus fort de la dernière heure, et très proche du vent moyen ? Cela semble défier les probabilités, vraiment... Bonne nuit.
  4. Bonsoir, je ne veux pas signaler une seule observation incohérente, mais une bizarrerie de fonctionnement de météoalerte. Je ne comprends pas quelle est la différence entre le "vent maxi" et "rafales". J'ai l'impression que selon les messages, les indications ne sont pas cohérentes entre elles. Ce n'est pas du tout spécifique à une station particulière, on retrouve la même chose pour beaucoup d'endroits : Si on ne regarde que la colonne "phénomène", on a l'impression que tout va bien et que "vent maxi" = "rafales". Par contre si on regarde la colonne "détails", il apparaît de temps en temps une valeur "rafales" qui me semble des plus farfelues. En tout cas, personnellement, j'ai beaucoup de peine à imaginer 40 km/h de vent moyen, 41 km/h en rafale (cela paraît un vent trop régulier) et 62 km/h en maxi ? C'est pourquoi il me semble qu'il serait beaucoup plus clair de désactiver la valeur des rafales de la colonne "détails". Merci de transmettre (ou d'expliquer si je me trompe, parce que dans ce cas-là, je n'y comprends plus rien).
  5. Non, Annecy est à 450 m d'altitude (voir Géoportail ou les stations météo sur infoclimat : http://www.infoclimat.fr/stations-meteo/index.php?s=07494 ).Chambéry est à 270 m d'altitude. Cela dit, je confirme qu'on a plus de neige à 450 m qu'à 270 m...
  6. Tout dépend du contexte. La physique pure dit que l'épaisseur de glace doit encore augmenter à -2°C pour un tonneau en contact uniquement avec un environnement à -2°C et s'il n'y a pas de surpression dans l'eau liquide, l'état final d'équilibre du contenu du tonneau est de la glace sans liquide à -2°C. Un problème est que l'équilibre met beaucoup de temps à se faire pour un tonneau. En tout cas, l'eau liquide à 0°C en contact avec la glace ne peut pas faire fondre la glace au-dessus. Si l'on tient compte de l'énergie qui vient de la terre, le raisonnement de Météo 78 semble plausible, un peu comme pour des lacs sous-glaciaires, mais personnellement, je demanderais une vérification expérimentale /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> pour un tonneau.
  7. Moi aussi, j'ai eu du mal, mais ça doit être dû à l'affluence. En tout cas, IC ne s'en tire pas si mal par rapport à MétéoFrance. Voilà 15 minutes que j'essaie d'avoir le bulletin de vigilance...Ah tiens, il vient d'arriver. Je n'ai rien dit. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  8. Toujours dans la même région : 361.0 mm d'eau en une heure à Véretz(37) Le climat du val de Loire a beaucoup changé ces temps-ci... (Edition) Une heure plus tard, 327,6 mm supplémentaires!
  9. entre -40°C et 0°C la glace pousse sur les surfaces effectivement. Au dessous de -40°C, la glace doit prendre en masse car l'eau liquide n'est plus métastable mais instable.
  10. pour Damien: J'avais cru comprendre que tu pensais que la température pouvait être plus élevée à l'échelle microscopique qu'à l'échelle macroscopique. Dès qu'on est à une échelle suffisante pour définir la température, c'est la même valeur... Apparemment, tu ne dis pas ça. Je ne vois pas bien pourquoi l'agitation thermique empêcherait la solidification en masse, d'autant plus qu'il restera de l'agitation à -40°C quand le liquide va prendre en masse. De plus, l'énergie cinétique n'est pas forcément conservée au cours de la transformation. Le lien entre température et énergie cinétique moyenne n'est simple que dans le cas de gaz parfaits. Je n'exclus pas cependant qu'il y ait quelque chose du genre de ce que tu dis avec un peu d'imagination, ça me plairait plutôt, mais je n'arrive pas à le reformuler, et je ne sais pas. Désolé pour la piqûre de rappel. pour Hugo: La "chaleur" due à la solidification de l'eau à -30°C va augmenter la température de la glace et de l'eau surfondue, et non pas reformer de l'eau, qui est moins stable que la glace au dessous de 0°C. (edit après une nuit de sommeil) Ce qui précède n'est effectivement pas très satisfaisant au niveau de la clarté. Je vais tenter une explication simple, sans parler d'énergie. Une explication de la surfusion... Il s'agit tout simplement d'un phénomène de retard d'une réaction rendue infiniment lente. La solidification de l'eau est une réaction "physique", mais elle peut être considérée tout comme s'il s'agissait d'une réaction chimique. On peut faire un parallèle avec un mélange hydrogène (H2) et oxygène (O2) dans un récipient. On peut facilement mélanger ces deux gaz et se rendre compte qu'aucune réaction ne démarre spontanément. La réaction qui forme de l'eau (H2O) à partir de H2 et O2 existe pourtant, mais il s'agit d'une réaction infiniment lente à température ambiante. Pour démarrer la réaction (EXPLOSIVE!) de formation de H2O, il suffit de placer un "germe" pour que la réaction démarre : il peut s'agir d'une étincelle ou d'un catalyseur. C'est pareil pour la surfusion: à T=-10°C (par exemple), si on place de l'eau liquide très pure dans un récipient parfaitement propre adéquat (sur lequel aucun "germe" pour la glace n'existe), l'eau reste (indéfiniment ?) sous forme liquide plutôt que sous forme de glace. La réaction ne démarre pas spontanément. Par contre, si l'eau est mise en contact avec une poussière adéquate ou un cristal de glace, la réaction de formation de la glace peut démarrer. Voir par exemple cette expérience : Anecdotiquement, on remarque que l'état final est un mélange eau glace à 0°C et pas de la glace pure. Dans une atmosphère pure, les gouttelettes d'eau peuvent rester surfondues à des températures négatives.
  11. Non cette "énergie" était pour moi l'enthalpie libre de Gibbs, G, si on travaille à pression constante.À 0°C, la chaleur latente de fusion de l'eau n'est pas nulle. (Je ne comprends pas bien, je n'ai pas l'impression que ce soit vrai : la température est une notion statistique et elle doit avoir la même valeur pour un cube de 0,1 micromètre de côté, ou pour un thermomètre)Quand j'avais utilisé énergie (sans guillemets), je pensais à la "chaleur latente" justement... Rassure-toi, Damien49, cela me semble un sujet compliqué, il n'est pas impossible que j'aie fait des erreurs en voulant simplifier...
  12. Je n'aurais pas dû utiliser le mot état, il est ambigu. Je ne voulais surtout pas parler des états de la matière (solide, liquide, gaz). Je voulais parler de "façon d'être" positionné pour l'empilement des molécules. (et même le mot empilement est ambigu, il faudrait fixer une distribution de positions, orientations et de vitesses pour un système de N molécules)En fait, je voulais simplement répéter ce que je venais de dire: pour tout "chemin" qui va de l'eau (point de départ), à la glace (point d'arrivée), l'eau est moins stable que la glace, mais plus stable que tout point extrêmement près du point de départ (à cause du "col").
  13. Plaçons à la pression atmosphérique, environ 1 bar. Pour une température T>0°C, l'eau est plus stable que la glace, et si T<0°C la glace est plus stable que l'eau. Il serait faux de croire que l'eau devient instable si T<0°C. En effet, plaçons-nous à un niveau microscopique, c'est-à-dire un empilement de molécules d'eau correspondant à l'un ou l'autre état (glace et eau). Imaginons, en déplaçant peu à peu les molécules d'eau les unes par rapport aux autres, un passage (=un chemin) de l'eau à la glace. Ce chemin suit la même logique que la plupart des chemins réactionnels en chimie : même si on gagne de l'"énergie" à transformer de l'eau en glace si T<0°C, le chemin comportera toujours deux parties, une montée en "énergie" de l'eau à un "col", puis une descente en "énergie" du "col" à la glace. Donc, même si l'eau est moins stable que la glace si T<0°C, l'eau est plus stable que tout état extrêmement voisin correspondant à un empilement presque comme dans l'eau liquide. On dit que l'eau est métastable. Du coup, on devrait s'étonner du fait que la glace apparaisse dès que T<0°C. Si l'eau était pure, ce ne serait pas le cas. Mais il y a les impuretés (poussières) et les parois sur lesquels des mécanismes plus compliqués conduiront à la formation du premier cristal de glace. Ensuite, on assiste à la croissance progressive de la glace autour du germe. Plus on descend en température, plus la glace devient basse en "énergie" par rapport à l'eau, petit à petit le "col" à franchir devient de plus en plus facile, il devient très proche de la configuration de l'eau liquide. À T<-40°C (ou -36°C selon les articles), il n'y a plus de barrière à franchir, plus de "col", l'eau devient enfin instable. Cette limite (limite spinodale) correspond à la nucléation homogène : une eau très pure se transformerait en masse en glace à cette température. La température minimale théorique pour une goutte d'eau liquide dans l'atmosphère serait donc -40°C. Une goutte d'eau liquide à -30°C qui se solidifie restitue beaucoup d'énergie, ce qui va augmenter sa température. Si elle est en contact avec un corps à une température supérieure à 0°C, il sera impossible que la goutte se solidifie en totalité, il n'y aura qu'une partie de congelée. Par contre, s'il fait moins de 0°C autour de la goutte (ce qui est très probable, car sinon pourquoi l'eau serait à cette température initiale de -30°C ?), la glace croîtra facilement ensuite...
  14. Personnellement, le plan thèse antithèse synthèse ne me plaît pas dans ce cas, ou alors je veux bien sous une forme plus élaborée. J'imagine bien une première partie où vous présenteriez une ou des courbes avec des données scientifiques quantitatives que vous auriez obtenues, en expliquant bien de quoi il s'agit. Un tracé de droite d'évolution avec un tableur de type excel ou openoffice n'est pas très difficile. Vous devriez arriver à la conclusion que sur un siècle il y a une évolution (peu nette) dans le même sens entre nombre de cyclones et températures. La deuxième partie présenterait les biais de votre étude simplifiée : par exemple il y a 50 ans, il n'y avait pas de satellites pour détecter les cyclones en mer, les fluctuations extrêmes entre deux années (cf l'Atlantique entre 2005 et 2009), et aussi le fait que corrélation n'est pas causalité. Ensuite à vous de conclure en essayant de faire la part de ce qui est scientifiquement prouvé et ce qui est votre conviction. Quoi qu'il en soit, ne pas oublier qu'on attend un travail personnel, et surtout pas un copier-coller de ce qu'on trouve partout. Apparemment, ce n'est pas difficile d'avoir des données sur les cyclones, voilà ce que je trouve en premier : http://www.meteo.fr/temps/domtom/antilles/pack-public/cyclone/tout_cyclone/futur.htm http://www.solar.ifa.hawaii.edu/Tropical/tropical.html ... C'est à vous de trouver de meilleures références (le mieux serait sous forme de livre, mais ce n'est sans doute pas toujours possible de trouver dans un CDI de lycée). Bon courage !
  15. Quant à moi, heureusement que je suis allé en Auvergne en septembre, sinon je n'aurais pas cueilli de cèpes cette année.Autour de Limoges actuellement, énormément de gens dans les bois, la saison n'est pas vraiment terminée (alors qu'elle n'a jamais commencé ?), car ici il n'a pas (ou presque pas) gelé, mais pas grand chose à se mettre sous la dent.
  16. Mais si il y a ça :http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Cerenkov (Le tout étant de penser à orthographier Čerenkov avec un hatchek ) [EDIT : Pardon, j'avais mal compris la question]
  17. Il faudra aussi faire une demande à la météo allemande, qui affiche des températures du même ordre pour la même période :Le 13 octobre 1951 à Karlsruhe : Tmin -2,9, Tmax 18,2. Source : http://www.wetterzentrale.de/topkarten/ Il y a eu apparemment de belles inversions thermiques dans les fonds les matins dans le coin en octobre 1951. Peut-être aussi que l'urbanisation fait qu'on ne revoit plus les mêmes situations. Le plus simple est d'admettre que ces mesures, aussi bizarres qu'elles soient, sont justes, mais ne correspondent pas du tout à la même situation climatique que ce qui nous attend.
  18. Je pense que ce site répond bien à la question posée : http://pagesperso-orange.fr/meteolyonnaise/conseils_installation/conseils.htm La température maxi du jour précédent doit être relevée à 6h TU (8h heure d'été, 7h heure d'hiver). (mais ça, Titou12 l'a dit depuis longtemps...)
  19. Je viens de comparer (sur internet) des cartes postales de Valdrôme (sur la Drôme comme son nom l'indique) au début du XXe siècle et une vue du même endroit maintenant. La différence est flagrante : il y a un siècle, avant l'exode rural, le village était presque entouré d'herbages et de cultures basses alors qu'actuellement il est presque entouré par la forêt. Il me semble tout à fait possible que cette forêt peut expliquer beaucoup de choses : elle consomme de l'eau, et en plus, elle transpire plus que de l'herbe rase, et dégage de l'humidité qui pourrait favoriser l'augmentation statistique des orages, et de la pluviométrie. Maintenant, je ne suis pas spécialiste du sujet, je ne connais pas les ordres de grandeurs et je peux me tromper.
  20. Laurent, excuse-moi de ma remarque (je risque de t'énerver inutilement si tu connais très bien ton affaire, pardon d'avance). Mais je voudrais apporter quelques précisions sur ces photos qui éveillent en moi comme un léger doute. Je pense qu'il s'agit effectivement de coulemelles comestibles (peut être pas toutes des vraies, car il manque des écailles sur le bord du chapeau de certaines). Mais il est très dangereux de cueillir des petites lépiotes. Ce n'est peut-être qu'un effet de perspective, mais elles ne semblent pas très grosses. Attention à ne pas confondre avec ça (photos de gauche) Soit l'appareil photo exagère les couleurs, soit certaines sont des fausses girolles (d'après mes souvenirs comestibles médiocres) plus orangées que les vraies. Le test est simple, ce sont des vraies girolles si sous le chapeau il y a des plis fourchus au lieu de lamelles. Oui et non, je vois des faux mousserons, très bons comestibles, et je ne pourrais en être certain qu'en tenant le pied (du champignon ) entre mes mains...Donc apparemment, probablement une bonne récolte, mais attention à ne pas être arrêté pour usage de faux /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Très joli cèpe, par ailleurs...
  21. C'est très courageux de publier ses résultats même quand il ne vont pas dans le sens de ses attentes.. L'écart à la température moyenne le jour numéro i semble bien être essentiellement un phénomène aléatoire (avec des fluctuations en 1/racine(N) ou N est le nombre de données moyennées), à ceci près qu'il est lié à l'écart au jour précédent et suivant. Tu pourrais terminer ton étude par des cycles de 7 jours, histoire de voir si le rythme des activités humaines, synchronisé sur les semaines a une conséquence sur les températures, mais, vu ton cycle de 7*5 = 35 jours, cela semble mal parti là aussi pour voir quoi que ce soit... Bravo et merci pour cette étude en tout cas.
  22. Il me semble qu'un bug est apparu à l'occasion du changement de forum dans le traitement des liens. C'est la lecture de ce sujet qui a provoqué chez moi le déclic : /index.php?showtopic=46020&view=findpost&p=1020961'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=46020&view=findpost&p=1020961 Sur ce sujet, Meteo-coco et Seby35 proposent deux liens indépendants vers des images de tornade. Ces deux liens sont actuellement erronés, par l'apparition de points de suspensions (...) dans l'url. Il me semble impossible que ces liens aient pu être proposés erronés, car au mois de juin les infoclimatistes les trouvaient très bien. Je ne vois que le changement de forum qui peut les avoir altérés. Ce que je dis semble confirmé lorsqu'on fouille dans le cache de Google : autrefois les liens vers les tornades ne comportaient pas ... dans l'url (ne pas se formaliser sur les ... qui apparaissent ci-dessous, ils ne sont pas dans le lien) : http://lachaineverte.fr.msn.com/images/videos.aspx?p=d1319246-75e6-47fe-8cec-a5471c0ff61d (lien valide, mais qui ne renvoie plus vers une tornade) et (lien valide, et qui renvoie toujours vers une tornade) Je ne sais pas si ce problème survenu en même temps que l'arrivée du nouveau forum a été détecté (désolé, je n'ai pas le temps de relire 20 pages), mais j'espère qu'il sera possible d'y remédier. (edit) si ce n'est pas possible, j'espère au moins que votre nouveau logiciel n'a pas altéré tous les anciens forums de la même façon, parce qu'il y avait des tas de liens de ce genre qui ont dû être perdus.
  23. Un peu de randonnée, de jogging... Il me semble que j'oublie quelque chose. Ah oui ! je fais du vélo quand il fait beau (230 km cette semaine), comme l'indique mon site perso.
  24. Il y a plein de choses là-dessus sur infoclimat :explications : http://www.infoclimat.fr/stations-meteo/expli_humidex.php calculs automatiques : http://www.infoclimat.fr/outils/calculs.php formules : /index.php?showtopic=9733&view=findpost&p=113964'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=9733&view=findpost&p=113964 C'est bien un "ressenti" calculé par une formule phénoménologique et en tant que tel, c'est contestable, même si tout le monde à constaté qu'il est bien plus supportable d'avoir 30°C par temps très sec que 26°C avec beaucoup d'humidité dans l'air.
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